• 17 oct. 2018
Au mois d'août dernier, la Société québécoise du cannabis (SQDC) avait dévoilé brièvement le concept de ses boutiques, qui ouvrent aujourd'hui leurs portes un peu partout dans la province. Alors que la consommation de cannabis est maintenant légalisée, pourquoi ces lieux de vente sont-ils si aseptisés, si peu aménagés, et exempts d'unicité ? Cette absence « d'esthétisme » est-elle à l'image du malaise qui semble entourer l'arrivée de cette drogue aux propriétés controversées?