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Iberville par LA FIRME
Pour répondre aux besoins d’une famille qui commençait à manquer de place dans cette petite maison de type "shoebox", LA FIRME a opté pour l’addition d’un volume au toit qui permet d’agrandir sans dénaturer le bâtiment. Trois grands puits de lumière ont été implantés afin que chacun des espaces au rez-de-chaussée reçoive un éclairage naturel généreux.
La cuisine est simple et conviviale avec sa table extensible qui, une fois déployée, peut accueillir jusqu’à 14 convives. La chambre et la salle de bain des maîtres profitent d’une vue imprenable sur l’ancien quartier ouvrier de Rosemont. En utilisant le principe de ventilation naturelle passive, l’ensemble de la maison reste frais même en été.
Crédits photos : Ulysse Lemerise Bouchard
Voir le projet dans son intégralité ici. (2017)
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MAISON SHOEBOX par Atelier SUWA
Avec cette rénovation d'une maison unifamiliale datant de 1909 d'un étage, située dans Parc Extension, atelier SUWA a cherché à maintenir la typologie de la maison "boîte à chaussures", connue pour sa faible hauteur, son faible encombrement et le fait qu'elle soit entourée d'un jardin.
Le principe directeur de ce projet était de générer plus d'espace tout en conservant le volume global existant et l'empreinte au sol. Plutôt que de construire en hauteur, l’idée a été de se tourner vers le sous-sol pour trouver plus d'espace. Au lieu de creuser davantage le sous-sol existant de 5' 5", les architectes ont maintenu le niveau du sous-sol et le niveau du rez-de-chaussée a été élevé sans modifier la hauteur du plafond intérieur existant ou l'enveloppe extérieure. La maison est passée d'une superficie d'environ 1000 pi2 à une superficie appréciable de 2000 pi2.
De plus, chaque étage est à deux niveaux. Le vestibule a conservé le niveau de l'ancien rez-de-chaussée pour garder l'accès à la porte d'entrée. Le milieu de la maison est surélevé de 21" et l'arrière de la maison (cuisine et salle à manger) est surélevé de 15" pour garder une bonne connexion avec le jardin.
Crédits photos: Élène Levasseur
Voir le projet dans son intégralité ici. (2016)
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Choubox par L. McCOMBER
Confrontés aux réglementations visant à préserver les «shoebox» du quartier Rosemont, des jeunes promoteurs cherchaient à densifier leur lot. En agrandissant le bâtiment en hauteur et en profondeur, les architectes ont réussi à le convertir en triplex, accueillant au rez-de-chaussée un logement de 1500 pc et à l’étage deux appartements contigus de 1000 pc avec mezzanine.
L’intervention conserve les caractéristiques d’origine de la façade et sa composition symétrique est reprise à l’étage. Les murs mitoyens ainsi qu’une bonne partie des fondations sont conservés et réparés. L’agrandissement au sol permet de profiter de la végétation de la cour. Un nouvel étage et sa mezzanine en retrait maximisent l’apport en lumière au centre et offrent des vues dynamiques sur la ruelle.
Par son traitement sobre et ses jeux de maçonnerie élégants, le bâtiment offre une lecture claire et harmonieuse de deux réalités: le «shoebox» restauré typique des années cinquante et son agrandissement qui témoignent de l’effervescence actuelle du secteur. Ce projet de densification douce permet l’arrivée de nouvelles familles dans le quartier, renouant avec l’idéal de l’accès à la propriété que représentait autrefois le «shoebox».
Crédits photos : Jérôme Labrecque
Voir le projet dans son intégralité ici. (2019)
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Maison sur Alma par PAUL BERNIER Architecte
L’ajout proposé sur le toit préserve un recul par rapport à la façade sur rue de la maison d’origine afin de la laisser se démarquer avec son couronnement de maçonnerie ouvragée. L’espace sur le toit créé par ce retrait permet d’y aménager une terrasse pour la chambre des parents.
L’espace intérieur est divisé en deux zone séparées par un grand mur en cèdre noir qui traverse l’étage de l’avant jusqu’à l’arrière. Un première zone loge la chambre des parents dans un geste d’ouverture sur le paysage. Une deuxième zone, plus fermée, marquée par un toit à pente descendante, couvre les chambres des enfants.
L’espace intérieur s’exprime en façade par la continuité matérielle des volumes intérieurs. Le volume de bois qui abrite les chambres des enfants, comme une cabane dans les arbres, est présent en façade. La surface blanche des murs et plafonds de l’intérieur se projette à l’extérieur comme un bandeau plié qui vient définir le volume de la nouvelle intervention.
Une intervention contemporaine et épurée qui marque clairement deux époques d’intervention.
Crédits photos: Adrien Williams
Voir le projet dans son intégralité ici. (2015)
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Résidence MARCONI par PELLETIER DE FONTENAY
Situé dans le quartier Marconi-Alexandra, le bâtiment original de type « shoebox » a été agrandi en fond de lot afin d’en faire une résidence capable d’accueillir une famille.
En détachant l’addition de la construction existante, un vide est généré au centre du projet, une respiration qui marque la transition entre l’ancien et le nouveau. Ce vide constitue le nouveau cœur de la maison. Il s’agit à la fois d’un espace extérieur où il est possible de s’isoler du contexte et qui invite aux moments d’introversion, mais aussi d’un espace agissant à titre de tampon acoustique et visuel permettant de filtrer les stimuli extérieurs générés par l’activité bourdonnante du site.
De multiples stratégies d’apport en lumière sont mises en œuvre à travers les puits en toiture, la margelle en cour arrière et le patio central.
Dans son ensemble, la résidence Marconi résulte d’une simplicité et d’un dépouillement spatial. La palette restreinte de matériaux utilisée, tant pour l’extérieur que pour l’intérieur, vient supporter cette clarté conceptuelle du plan tout en répondant à certains impératifs économiques.
Voir le projet dans son intégralité ici. (2019)
Crédits photos: Pelletier de Fontenay
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Projet Pontiac Par Robert Lavoie architecte
Située en plein coeur du plateau Mont-Royal, cette "shoebox" de 600p2 s’est vue transformée en cottage à 3 niveaux de 1800p2. La bâtisse a été reconstruite en conservant la structure du rez-de-chaussée afin de respecter les exigences municipales.
Un étage en haut a été ajouté et un autre au sous-sol, celui-là creusé à même le roc. Une terrasse de 300p2 trône sur le toit afin de faire oublier l’aspect cloisonné d’une maison sans terrain tout en s’imprégnant de l’ambiance du quartier.
Photos: site web Antarès Rénovation
(2018)
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SHOEBOX 1+2 par MOA
Construite au début du XXe siècle, la maison d'origine occupe un périmètre de 25 pieds en façade par 25 pieds de profondeur, et profite d'un grand jardin ensoleillé typique des potagers de la Petite Italie.
Un peu dégradée mais suffisamment en bon état pour être conservée, la maison est rénovée et agrandie côté arrière par l'ajout d'un volume de deux étages. Au rez-de-chaussée les pièces de vie s'ouvrent vers le jardin et à l'étage, se retrouvent deux chambres et une salle de bain.
Voir le projet dans son intégralité ici. (2003)
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De Normanville par TBA
Avec la préservation des ormes de Sibérie matures de la propriété comme point de départ, l’intervention se faufile délicatement autour des arbres, et fournit une série d’espaces intérieurs lumineux, positionnés en alternance avec de nouvelles pièces extérieures.
Ce geste met en valeur l’identité du "shoebox" original, maintenant situé au cœur de la nouvelle maison, tout en réaffirmant à la fois la présence de la maison d’un étage sur la rue, et son caractère modeste, minimal, mais remarquable.
Crédits photos: TBA + Adrien Williams
Voir le projet dans son intégralité ici. (2020)
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Pour en savoir plus, voir cet article d'Index-Design sur le projet de rénovation d'une "shoebox" par M_Architecture et Fugère Architecture.
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Crédits photos : Félix Audette
