Produite par la coopérative ON EST 10, la plus récente saison de la websérie L'Atelier Pierre Thibault propose, par l'entremise de 8 épisodes d'une quinzaine de minutes, « un voyage où l’architecture s’intègre de façon organique à son environnement, tant dans les lieux publics que dans les espaces communs ». L'idée globale derrière la série était de peser l'impact qualitatif que l'architecture peut avoir sur le mode de vie.
Pour Pierre Thibault, il est important d'amener les internautes à se questionner sur les espaces dans lesquels ils évoluent. Dans un épisode traitant de l’école, l'architecte et coauteur de l'ouvrage à succès Et si la beauté rendait heureux, livre un brillant plaidoyer sur notre besoin urgent de repenser les lieux d'apprentissages, invitant ainsi le public à prendre par à une importante conversation sur nos choix de société.
Voyageant de Tokyo à La Havane, en passant par Saint-Élie-de-Caxton, L'Atelier abordera les défis qu'amène le développement d’un environnement harmonieux à travers des contextes aussi différents qu’une métropole dense, qu'une ville ancrée dans le passé ou qu'un village à la popularité grandissante. Dans cette nouvelle mouture, on retrouvera également le couple Mathieu et Maria, présent dans la première saison de la websérie, dans leur maison des Laurentides.
La réalisation contemplative et délicate de la série, que l'on voulait également sensible à l'importante complémentarité existant entre l'architecture, l'art et la nature, est signée Claude Bastien.
Il est toujours possible de visionner les épisodes de la première saison de L'Atelier Pierre Thibault sur La Fabrique Culturelle.
