L’Empreinte Québécoise se dévoile au Salon canadien du meuble de Toronto

L’Empreinte Québécoise se dévoile au Salon canadien du meuble de Toronto

Du 28 au 30 mai, l’Empreinte Québécoise participera au Salon canadien du meuble au International Centre de Toronto. À l'initiative d’INÉDI, le centre collégial de transfert de technologie en design industriel au Cégep de Terrebonne, l'Empreinte Québécoise est un projet de recherche-action dans l’industrie manufacturière de meubles.

« L’idée de L’Empreinte Québécoise est née d’un constat que l’image du design québécois était parfois mal perçue et floue. Le temps était venu de revisiter notre style, de penser autrement et de faire différemment. », affirme M. Jean-Claude Poitras.

Représentée notamment par ses deux membres fondateurs, monsieur Jean-Claude Poitras, créateur de mode et designer multidisciplinaire québécois, et madame Véronique Paradis, chercheure en design stratégique chez INÉDI, L’Empreinte Québécoise profitera de cette vitrine pour dévoiler les 7 premières créations issues de la démarche qu’elle propose aux fabricants de meubles ainsi que sa nouvelle identité visuelle. Vanico-MaronyxAteliers St-JeanMobilier BoomrangCentre de l’EscalierMobican et BSG seront de la partie lors d'un cocktail de dévoilement  qui aura lieu le samedi 28 mai à 17 h, au kiosque 5447 dans le hall 5.

L’Empreinte Québécoise accompagne les participants dans une démarche collaborative de design et d’innovation afin de développer de nouveaux produits porteurs d’une identité québécoise. Inspirée de critères et de lignes directrices précises, et échelonnée sur 18 mois, cette démarche vise à soutenir les fabricants dans le développement de nouveaux savoir-faire tant au niveau du design du produit qu'au niveau stratégique. 

« L’équipe de L’Empreinte Québécoise aide donc les fabricants participants à mettre en relief notre savoir-faire en matière de design, à développer leur créativité et à repenser l’identité du meuble québécois en privilégiant les essences et matières typiques du Québec, en appliquant les principes du design durable et d’écoresponsabilité. Le tout se fait dans le cadre d’une démarche d’inspiration « glocale » selon l’approche du design thinking, une méthode d’innovation centrée sur l’usager et axée sur l’expérimentation reconnue pour son efficacité », de souligner Mme Véronique Paradis.